Peau de l'eau, in situ

Toile de coton,
Structure en bambous.
96 x 412 cm.

Résidence en Afrique du Sud, Witklipfontain, 2024.

Installation dans le creux de la source de Witklipfontain.

La toile est restée immergée pendant
12 jours et 4 heures,
entre deux pluies,
sous les algues et la roche.

" Pourquoi nos lieux de culture n’ont-ils pas la culture des lieux ? Pourquoi, les pieds sur terre, J.C émet l’hypothèse que la culture occidentale offre tous les caractères d’une formation de défense. Érigée contre la vie en tant que milieu et pulsion, cette culture vide les lieux. Elle fragilise nos inscriptions, détruit nos appartenances.

Si la crainte de l’effondrement nous travaille avec tant de force, c’est que cette crainte cache une attirance : quelque chose en nous veut savoir quel afflux d’énergie vitale libèrerait la chute des fortifications qui blindent notre absence aux corps et aux lieux que nous habitons. "

Jean-Christophe Cavallin "Valet noir".

Peau de l'eau, in situ
Peau de l'eau, in situ
Peau de l'eau, in situ
Peau de l'eau, in situ
Peau de l'eau, in situ
Peau de l'eau, in situ
Peau de l'eau, in situ
Peau de l'eau, in situ
Peau de l'eau, in situ
Peau de l'eau, in situ
Peau de l'eau, in situ
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